
L’envie d’arriver à la limite entre la partie saine du bois et celle en transformation, comme le point de passage entre le vivant et un « au-delà », du visible « clinquant » et d’un monde plus « sourd ».
Les déchirures devenaient criantes, ça et là…
Etait-ce le besoin de réparer ? ou plutôt le besoin de me pencher sur cette surface vibrante, une « peau de bois » tendue jusqu’à la corde ? Et de la regarder de plus près ?
Le fil d’or à broder s’est imbriqué. Les points de suture ont percé la peau, rejoignant la surface et l’intérieur, créant un « entre » où chaque fil tend lui aussi sa toile, où chaque imaginaire peut s’agripper.








